Les marques médiévales de Ilya Stallone

Qui est Ilya Stallone ? 

Ilya Stallone est un artiste dont la spécialité est l’illustration médiévale, et notamment les marques médiévales, avec humour et dérision il transpose la société d’aujourd’hui dans un contexte moyenâgeux pour notre plus grand plaisir !

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Les marques médiévales :

Si nous imaginons un équivalent médiéval de Burger King à l’époque du Moyen Âge, cela pourrait être une taverne ou une auberge populaire qui se spécialisait dans la préparation rapide et la vente de plats simples et consistants. À l’époque médiévale, les voyageurs, les pèlerins et les gens locaux avaient besoin d’endroits pour se restaurer rapidement, tout comme aujourd’hui, et ces tavernes ou auberges auraient pu offrir une option de restauration relativement rapide.

Un exemple d’équivalent médiéval de Burger King aurait pu être une taverne qui se spécialisait dans la préparation de plats à base de viande grillée, comme des brochettes de viande, des saucisses ou des morceaux de poulet cuits à la broche. Les clients auraient pu commander ces plats à emporter ou les manger sur place, et ils auraient probablement été servis avec du pain ou d’autres accompagnements simples.

Ces établissements médiévaux auraient peut-être eu une certaine renommée pour la qualité de leurs viandes grillées, tout comme Burger King est célèbre pour ses hamburgers aujourd’hui.

Si nous imaginons un équivalent médiéval de Mercedes-Benz à l’époque du Moyen Âge, cela pourrait être une entreprise ou un artisan spécialisé dans la fabrication de chariots, de calèches ou de véhicules tirés par des chevaux de haute qualité. À l’époque médiévale, la mobilité dépendait principalement des chevaux et des véhicules tirés par des animaux, et les calèches étaient utilisées pour le transport de personnes et de marchandises.

Une entreprise médiévale équivalente à Mercedes-Benz aurait pu se distinguer par la qualité de ses véhicules, la précision de leur fabrication, et peut-être même leur design élaboré. Elle aurait pu travailler pour des clients tels que la noblesse, les marchands prospères ou les hauts dignitaires de l’époque, produisant des véhicules qui étaient à la fois fonctionnels et représentatifs du statut social de leurs propriétaires.

Si l’on imagine un équivalent médiéval de McDonald’s à l’époque du Moyen Âge, cela pourrait être une sorte de taverne ou d’auberge qui aurait servi des repas rapides et simples pour les voyageurs, les marchands et les gens locaux. Cependant, il est important de noter que les modes de restauration étaient très différents à cette époque, et il n’y avait pas de chaînes de restauration rapide standardisées comme McDonald’s.

Cette taverne médiévale aurait pu offrir un menu limité de plats tels que des soupes, des ragoûts, du pain, des tourtes ou des saucisses, qui auraient été préparés rapidement et servis aux clients. Les repas auraient été simples et consistants, conçus pour satisfaire la faim des voyageurs en route ou des travailleurs locaux.

Contrairement à McDonald’s, qui est une chaîne de restauration rapide mondiale avec des menus standardisés, cette taverne médiévale aurait probablement eu une offre de plats plus locale et saisonnière, en fonction des ingrédients disponibles à l’époque et dans la région.

Si nous imaginons une entreprise ou un artisan équivalent à Nokia à l’époque du Moyen Âge, cela pourrait être un atelier ou une entreprise spécialisée dans la fabrication de produits hautement techniques et de grande qualité pour l’époque. Cette entreprise aurait pu se concentrer sur des domaines tels que la fabrication d’armes, d’horlogerie mécanique, d’instruments de navigation, ou de dispositifs mécaniques avancés pour des applications spécifiques.

Par exemple, une entreprise médiévale spécialisée dans la fabrication d’instruments de navigation avancés, tels que des astrolabes ou des compas améliorés, aurait pu être considérée comme l’équivalent médiéval de Nokia. Ces instruments auraient été hautement prisés à l’époque pour la navigation en mer et auraient nécessité une expertise technique et une précision dans leur fabrication.

L’idée est que cet équivalent médiéval de Nokia aurait été une entreprise ou un artisan de renom, réputé pour la qualité et la fiabilité de ses produits, tout comme Nokia est connu pour ses téléphones mobiles et ses équipements de télécommunications de qualité.

A l’époque médiévale, la richesse et le statut social étaient souvent associés à la possession de terres, de châteaux, de bijoux, de chevaux de grande qualité ou de titres de noblesse. Les moyens de transport les plus avancés étaient des chevaux de qualité supérieure ou des véhicules tirés par des animaux, tels que des calèches et des chariots.

Donc, pour imaginer un équivalent de Ferrari à l’époque du Moyen Âge, on pourrait penser à un cheval de race rare et exceptionnelle, possédé par un noble ou un chevalier réputé pour sa vitesse et sa beauté. Cependant, il est essentiel de se rappeler que la notion de véhicules automobiles de sport tels que les Ferrari est propre à l’ère moderne, et elle n’existait tout simplement pas à l’époque médiévale.

Pour écouter de la musique à l’époque médiévale, les gens dépendaient de musiciens itinérants, de chanteurs, de ménestrels, et de groupes de musique qui se produisaient en direct lors de festivals, de banquets, de cérémonies religieuses et d’autres événements. La musique était une forme d’art très présente dans la vie quotidienne, mais elle n’était pas enregistrée ni diffusée comme elle l’est aujourd’hui.

Les équivalents médiévaux de l’expérience Spotify auraient été des spectacles de musique en direct, où les gens se rassemblaient pour écouter des performances musicales en direct. Ces performances pouvaient inclure des chansons, de la musique instrumentale, de la danse, et d’autres formes de divertissement musical. Chaque performance était unique, et il n’y avait pas de moyen de stocker ou de reproduire la musique à grande échelle comme nous le faisons aujourd’hui avec le streaming musical.

Si l’on imagine un équivalent médiéval d’une entreprise qui aurait fourni des biens de consommation pour l’aménagement de la maison, cela pourrait être un atelier d’artisans ou de menuisiers qui fabriquaient des meubles sur mesure pour les nobles et les riches propriétaires terriens de l’époque. Ces artisans auraient créé des meubles en bois, des tapisseries, des objets de décoration et d’autres articles pour meubler et décorer les demeures médiévales.

Contrairement à Ikea, où les meubles sont généralement vendus en kit pour l’assemblage à domicile, ces artisans médiévaux auraient fabriqué des meubles sur mesure en fonction des besoins et des préférences de leurs clients, en utilisant des techniques artisanales de l’époque.

Si nous cherchons à imaginer un équivalent médiéval qui aurait eu un impact similaire en termes d’innovation et de prestige, cela pourrait être une guilde ou un atelier d’artisans renommé pour sa capacité à produire des objets de grande qualité et de haute technicité. Cette guilde ou cet atelier aurait pu se spécialiser dans la création de dispositifs mécaniques sophistiqués, d’instruments de navigation, d’horlogerie mécanique avancée, ou d’autres produits artisanaux haut de gamme.

Ces objets médiévaux d’exception auraient pu être très recherchés par la noblesse, les érudits et les dignitaires de l’époque, tout comme les produits Apple sont prisés aujourd’hui pour leur design, leur innovation et leur qualité.

Les lettres manuscrites étaient l’un des principaux moyens de communication à longue distance, mais elles étaient lentes à transmettre et dépendaient du courrier postal ou de messagers. Les messagers à cheval étaient souvent utilisés pour transporter des messages importants sur de longues distances, mais cela prenait du temps.

Pour des communications plus rapides et plus locales, les gens se parlaient en personne ou utilisaient des signaux visuels ou sonores, tels que des drapeaux, des signaux de fumée, des cloches ou des trompettes, pour transmettre des messages d’urgence ou des informations importantes.

Il n’y avait pas d’équivalent de marques de vêtements contemporaines comme Lacoste, qui est spécialisée dans les vêtements de sport et de loisirs. Les vêtements médiévaux étaient principalement fabriqués à la main et étaient souvent fonctionnels plutôt que basés sur des marques ou des logos. La mode médiévale variait considérablement en fonction de la région et de la classe sociale.

Si nous imaginons un équivalent médiéval de Lacoste, cela pourrait être un atelier de tailleur ou d’artisan spécialisé dans la création de vêtements pour une classe sociale aisée, peut-être des vêtements sur mesure pour la noblesse. Cependant, ces vêtements auraient été très différents des vêtements sportifs modernes et des polos Lacoste que nous connaissons aujourd’hui.

Pendant le Moyen Âge, la mesure du temps se faisait principalement à l’aide de cadrans solaires, de cloches d’église et d’autres moyens rudimentaires. Les horloges mécaniques étaient encore rares et réservées principalement aux grandes églises et aux édifices publics.

L’équivalent médiéval de la notion de statut social ou de bijou de luxe aurait pu être une montre à eau ou une horloge à poids, qui étaient parmi les dispositifs de mesure du temps les plus avancés de l’époque. Ces horloges étaient coûteuses à fabriquer et à entretenir, et elles étaient utilisées principalement par la noblesse ou les institutions religieuses pour des besoins spécifiques.

Au Moyen Âge, les rencontres romantiques se faisaient principalement par le biais de rencontres en personne, d’intermédiaires sociaux comme les amis et la famille, ou d’occasions sociales telles que les bals, les foires et les fêtes religieuses. Le mariage était souvent arrangé par les familles, et les interactions romantiques étaient souvent fortement réglementées par des normes culturelles et religieuses.

Cependant, si nous imaginons un équivalent médiéval hypothétique à Tinder, cela pourrait être une sorte d’événement social où les célibataires se rassemblent pour socialiser et chercher des partenaires potentiels. Les gens pourraient se rencontrer lors de danses, de tournois ou de célébrations locales, mais ces rencontres se faisaient en personne et suivaient les coutumes de l’époque.

Les systèmes financiers médiévaux reposaient largement sur la monnaie métallique, tels que les pièces d’or, d’argent et de cuivre. Les gens utilisaient ces pièces pour effectuer des transactions, acheter des biens et des services, et régler des dettes. Il n’y avait pas de comptes bancaires comme nous les connaissons aujourd’hui, et les transactions étaient principalement effectuées en personne.

Si l’on imagine un équivalent hypothétique à PayPal à l’époque médiévale, cela pourrait être un système de change ou un réseau de comptables ou de changeurs de monnaie qui faciliteraient les transactions monétaires entre les personnes et les marchands. Ces changeurs de monnaie pourraient fournir des reçus ou des documents écrits pour enregistrer les transactions et faciliter les échanges de fonds entre les parties.

Au Moyen Âge, la communication se faisait principalement de manière physique et orale. Les gens échangeaient des nouvelles, partageaient des histoires et se tenaient informés en interagissant en personne, par lettre ou par l’intermédiaire de conteurs itinérants qui racontaient des récits et des nouvelles dans les villages et les cours royales.

Cependant, si nous imaginons un équivalent médiéval hypothétique de Facebook, cela pourrait être un lieu physique où les gens se rassemblaient pour socialiser, échanger des informations et partager des récits. Par exemple, les places publiques, les marchés, les foires, les tavernes et les églises étaient des lieux où les gens se réunissaient pour se tenir au courant des nouvelles locales, discuter des affaires courantes et tisser des liens sociaux.

Les récits et les informations étaient transmis de manière orale, souvent par des conteurs ou des ménestrels, et les nouvelles pouvaient se répandre rapidement dans les communautés locales grâce à ces interactions en personne.

Au Moyen Âge, la sexualité était souvent considérée comme un sujet privé, et les représentations ou la diffusion publique de la sexualité étaient en grande partie taboues. Les médias de l’époque, tels que l’art, la littérature et les représentations visuelles, abordaient rarement la sexualité de manière explicite, et lorsqu’ils le faisaient, c’était souvent de manière allégorique ou symbolique.

L’équivalent médiéval de la pornographie, s’il peut être appelé ainsi, aurait pu être constitué de textes, d’images ou d’objets érotiques destinés à une utilisation privée par des individus ou des couples, plutôt que d’être diffusé publiquement. Ces éléments auraient été gardés secrets et ne seraient pas comparables à la diffusion en ligne de vidéos explicites que nous trouvons aujourd’hui.